Latcho Drom Live 2001 albums and been through at least as Latcho
Drom has released four prior many lineups. Yet
at the band's heart remains Gypsy guitarist Christophe Lartilleux and bassist Joel Trolonge - as well as a commitment to playing forward-reaching Gypsy jazz. On this new live collection, they are joined by Romanian violonist Florin Niculescu and French rhythm guitar stalwart Doudou
Cuillerjer. Its a traditional ensemble lineup inspired by the Hot Club de France, but their renditions of traditional songs are new. And these are not radio-friendly tracks.
The versions of Django's “ Belleville" and "Blues en
Mineur," for instance, run to 6:35 and 9:46 respec- tively, allowing Lartilleux and Niculescu room to stretch out and develop their solo ideas far beyond the confines of Django and Stephane Grappelli's typi- cal solos of a couple choruses. On the 8:09"Caravan," for
example, the band moves
through dynamically different mood
swings and rhythms. playing with a
palette of sounds to cre- ate a stunningly
original take on the standard. It's
unlike anything else heard in Gypsy jazz
past or present. The band tried this same tact on its earlier Live
In Madrid, but comes to- gether much
better this time. Niculescu has more power
and breadth on the violin and Lartilleux has matured. - MICHAEL DREGNI |
Latcho Drom
Live 2001
Latcho Drom a déjà
sorti quatre albums précedemment et a eu au moins autant de lineup. Du groupe
original il reste le guitariste Manouche Christophe Lartilleux et le bassiste
Joel Trolonge – ainsi que quelques concessions obligées au style manouche. Sur ce nouvel album live, ils sont rejoints par le
violoniste Roumain Florin Niculescu et l’accompagnateur exemplaire Doudou
Cuillerjer. La composition du groupe est toujours inspirée de celle du Hot
Club de France, mais leur interprétation de morceaux traditionnels est très novatrice. Et celles-ci ne conviennent pas à un format
radio ! Les versions de "Belleville" de Django et "Blues
en Mineur," par exemple, durent 6:35 et 9:46 respectivement. Cela permet
à Lartilleux et Niculescu de
développer tranquillement leurs idées de solo, bien au-delà des
limites des deux chorus imposées à l’époque, à Django Reinhardt et Stephane Grappelli. Sur "Caravan" (8 :09), le groupe joue
avec différents swings et rythmes, avec une palette sonore très riche qui
donne une nouvelle vision de ce standard. C’est très différent de ce que l’on
a pu entendre par le passé (et le présent) dans ce style de jazz manouche. Le groupe avait déjà essayé cela sur le précédant
“ Live in Madrid ”, mais cette fois ils sont beaucoup plus soudés
et complices. Niculescu a plus de puissance et de respiration au violon et
Lartilleux a mûri.- MICHAEL
DREGNI |